Depuis quelques heures New York est au centre des médias pour un fait divers que tous les médias du monde entier ont repris.
J’ai eu la chance de connaître New York lors d’un concert d’Enrico Macias, où par la suite j’ai écrit aussi immédiatement le livre « Au Coeur de New York ».
J’ai pu entendre dans les médias français que des responsables politiques, notamment de gauche, des simples citoyens ont été surpris de la présentation des faits sur une échelle hautement médiatique exposant un homme puissant menoté.
Il faut avoir eu l’occasion de passer dans cet Etat des USA pour se rendre compte que la législation n’est pas du tout la même qu’en France.
J’ai eu l’occasion de voir la rapidité avec laquelle le NYPD agit dans la ville de New York, dans les quartiers de Manhattan, de Times Squares, Broonx, Harlem ou Brooklyn.
Chaque pays a ses lois, on ne peut que s’y soumettre. Il est évident que cela contraste avec la France où cette rapidité n’est pas la même, ni le système en lui-même. Il est inutile de dire qu’il n’existe pas de « lynchage médiatique » car en France quand les médias, au nom de la liberté de la presse, s’en mêlent certains sont descendus sans crier gare !
J’ai lu, avec étonnement les jours derniers, que la CULTURE était de gauche ! Au nom de « quel droit », les partis de gauche peuvent-ils s’approprier cette notion alors que la CULTURE est UNIVERSELLE comme la musique ! Cela n’est pas sans rappeler l’engagement d’Enrico Macias en 2007 et les conséquences que l’on connaît !
Mais être « de gauche » c’est quoi ? Une idéologie ou un sacerdoce ! Le
soi-disant pressenti aux élections présidentielles de 2012 de gauche, n’hésiste pas à poursuivre les journaux quand on parle de son train de vie ! Mais pour essayer d’être libérer il propose, par avocats interposés, 2 millions de dollars soit 1,4 million d’Euros soit 1 000 mois de salaires au SMIC français si je l’arrondis à 1 400 € mais c’est encore du brut ! 1 000 mois ou 83 ans de travail giclé en quelques minutes !
Par hasard, si du moins il en existe, un guide m’a montré l’entrée du RIAD de ce présidentiable, à Marrakech ! Certes il est proche des pauvres, mais c’est seulement dans le sens où autour de la médina de Marrakech, des gens vivent avec peu (1 € par jour) alors que le luxe se déballe de cette manière !
Si être de gauche c’est d’avoir plein les poches, on n’y comprendra jamais rien ! La société est mal faite car les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres !
L’électeur commence à se désintéresser de tout cela car c’est lui qui paie toujours le système que ce soit d’un bord comme de l’autre.
Alors la morale ou la moralité est où ?
Certes à New York, la statue de la liberté est présente et j’en parle d’ailleurs dans mon livre mais c’est aussi dans cette ville que la liberté a été fauchée en plein vol, c’est le cas de le dire, excusez le jeu de mots.
Et pour terminer hier nous avons eu le droit à 2 festivals de Cannes,
l’un en France  et l’autre « Au coeur de New York »
Puis certains livres d’hommes célèbres sont réellement écrits par des auteurs méconnus qui ont plus de mérites que ceux qui viennent les signer au coin d’une table, ce qui est plus facile !
La CULTURE est une richesse peu importe son origine !
Les « solaires » que nous sommes essayons de la défendre contre vents et marées alors que sur la toile des personnes s’arrogent le droit de transgresser la logique CULTURE au profit d’un certain mépris et en faisant voyager les MUSIQUES des autres sans délier sa bourse !
Il faut arrêter ce système mais est-il facile de ramasser les plumes d’une poule déplumée sur le fil de l’eau ? Hélas non !
Mais les auteurs, compositeurs, écrivains, artistes de toutes sortes sont la richesse d’un pays sans distinction de parti, de religion ou de race !
Quelqu’un disait « La critique est aisée mais l’art est difficile » !
A très bientôt !Â
Une superbe journée de tournage dans le Téléfilm « Entre deux mondes » de Josée Dayan avec Muriel Robin, Jérôme Kircher, Stanislas Mérhar, Laure Marsac (tous présents) où mon rôle de personnage officiel n’était autre que celui du Maire ! Me voici ici aux côtés de Laure Marsac, femme du maire dans le Téléfilm. Laure doit couper un ruban d’inauguration d’un phare près d’un Château. Auparavant, en tant que Maire, j’ai eu droit à plusieurs autres séquences puisque j’étais chargé de prévoir le buffet servi après l’inauguration.
Armand CARVAL 