Bonjour,
Le livre
« LA FRANCE EN DANGER »
220 pages, est disponible sur internet. Tous ceux qui veulent se
l’acquérir peuvent se rendre sur ma page internet :
http://lesmusiques.voila.net/livrac.htm
ou
http://lesmusiques.voila.net/francedanger.htm
Ce livre est le
premier d’une série de 4, tous écrits et terminés, dans cette
rubrique prolongée par le livre « les droits d’auteurs ».
Concernant le livre
sur les droits d’auteurs il est en cours d’écriture.
Néanmoins dans mon
livre « LA FRANCE EN DANGER » j’y consacre quelques pages.
Si je mets quelques
lignes sur Enrico Macias dans ce livre c’est justement sur ce
sujet.
Tout le monde a pu
se rendre compte, mais j’en parle peu, qu’Enrico Macias a été dans
l’obligation de reporter ou d’annuler certains concerts, de
diminuer le nombre de jours à l’Olympia pour Septembre 2012, 3
jours au lieu de 7 comme nous en avions discuté au départ sur cet
Olympia.
Même si certains
pensent que le disque ne souffre pas ce n’est pas
exact. Le dernier album d’Enrico Macias n’a pas eu
le succès, en ventes, que nous attendions. Certes il a
été au TOP 50 et j’en parlais avec Enrico et Jean Claude, mais
désormais pour son calcul il est tenu compte des téléchargements
légaux.
Dans mon livre « LA
FRANCE EN DANGER » j’explique pour ces quelques pages sur les
droits d’auteurs, comment certains ont détourné la
création.
Alors quand certains
élus disent qu’il faut abandonner la HADOPI c’est entrer dans une
zone de ‘non droit’. C’est tout le contraire qu’il y a lieu de
faire.
Le laxisme n’est pas
une réponse aux problèmes de notre société ! Nous courrons
droit vers d’autres problèmes, plus graves, dont j’en parle aussi
dans on livre.
Personne ne peut
faire l’impasse sur le fait divers de la jeune « Agnès » après
« Océane » et tant d’autres. C’est ce système de « non droit » qui est
grave !
Cette zone de « non
droit » commence par tous ces interdits que beaucoup s’arrogent et
qui finissent par s’accaparer de tous les droits !
Pour revenir aux
droits d’auteurs, beaucoup se sont arrogés le droit de mettre sur
internet un tas de chansons de leur chanteur préféré !
Ces personnes sont
« inconscientes’ car en plus ils se sont servis des oeuvres des
autres pour les divulger « AU MONDE ENTIER » par les moyens
numériques tels que Internet donc des sites internets, des blogs
internet ou des blogs sociaux, de mettre les chansons, les textes,
les vidéos venant d’autres sites américains sur lesquels ils ont
déposé hébergé les chansons ou vidéos. Ce n’est pas parce que tout
le monde, ou presque, le fait que c’est bien.
Certes internet est
un moyen moderne qui permet de communiquer mais pas de « voler » car
il faut bien dire les choses comme elles sont.
A reprendre une
expression d’Enrico Macias, « c’est du vol à main
armée, ‘fin de citation.
Alors c’est très
bien d’aduler son chanteur préféré quand d’un autre côté on lui
plante un couteau dans le dos ! Ce n’est pas très abile
!
Pour que la France
puisse se relever il faut EXPORTER. Je connais le sujet mais
aujourd’hui nous importons beaucoup trop ! La vie est trop chère
par la faute de ceux qui n’ont pas compris ce qu’il fallait faire
il y a au moins 30 ans.
En écrivant
« LA FRANCE A LA DERIVE » j’explique ce
qu’il en est de ces « 30 désastreuses » après les « 30
glorieuses ».
Ce qu’il est
possible d’exporter c’est notre CULTURE ! Alors que les fossoyeurs
n’aient pas l’audace de revenir nous tuer une seconde fois
!
Quelqu’un m’a dit
(non ce n’est pas Carla, pardons mais les mots sont là) que c’était
dommage de voir Enrico Macias aller vers l’étranger alors qu’en
France il n’y vient pas. C’est complètement faux ! Un jour
j’expliquerai le fond des choses ! J’en ai parlé à Enrico et je
verrai en temps et en heure.
Enrico EXPORTE ses
chansons pendant que les français les lui piratent ! C’est un
comble ! Il n’est pas le seul dans ce cas bien entendu !
Un jour, les
créateurs de tous ces sites qui parlent de leur chanteur préféré,
et il y en a, risquent de se réveiller un peu « groggy ».
Les sociétés
d’auteurs sont capables d’aspirer un site à une date précise avec
le nombre exact de chansons, de vidéos pour lesquelles les
internautes ne paient RIEN. De la même manière les sociétés
d’auteurs sont capables de QUANTIFIER le nombre de téléchargements
PASSIFS ainsi générés puisqu’ils connaissent le nombre EXACT de
visiteurs. Ils ne pourront plus nier l’évidence devant une
juriduction. La Hadopi punit ceux qui téléchargent mais ne fait-il
pas remonter à ceux qui mettent à disposition toutes ces chansons,
vidéos, films, textes de chansons et autres ? Il n’y a pas que la
HADOPI, les sociétés dde droits ont également des procédures en
cours contre les internautes qui ne respecte pas le droit d’auteur
et proproété intellectuelle ! Il existe un code de propriété
artistique et intellectuelle. Il est le même pour tous comme le
code de la route ! Certains vont à « contresens » ! Alors tant pis
pour la contravention sur l’autoroute de l’information qu’est
internet !
Qu’ils sachent que
le droit est INCESSIBLE et qu’il court 70 ans après le décès du
créateur ! Autrement dit, il est difficile de dénier les droits
d’un auteur en vie.
Un jour la note sera
salée pour certains. Ce n’est pas sous prétexte que rien ne se
passe que rien ne se fait.
Les auteurs ne sont
plus capable de vivre de leur art. Il ne suffit pas de dire que
l’on va augmenter le budget de la Culture en 2012 de 50 % alors
qu’ils ont fait tout le contraire pendant des années.
Si la culture se
meurt, il y a bien une raison. Certains sont fautifs ! On ne peut
avoir avoir le beurre, l’argent du beurre et de battre la fermière
!
Pour que la création
vive il faut davantage de civisme et règles à suivre ! Elles ne
sont pas suivies !
Quand le Président
dit qu’il veut aussi s’attaquer au streaming c’est qu’il y a péril
en la demeure mais je lui dirai qu’il faudra atteler les boeufs car
certains ont toujours plusieurs longueurs d’avance. Il n’y a pas
que ce problème.
J’ai initié
à la SACEM il y a 13 ans une proposition sur le sujet
mais il a fallu attendre trop longtemps. C’est pour cela que nous
sommes arrivés là !
http://spdm.voila.net/spdmaccueil.htm
Ceci dit, j’écris un
autre livre sur Enrico Macias. Je lui en ai parlé de vive voix
avant de le commencer.
A très bientôt
!